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Au printemps 2022, le Carnaval de Binche a été, pour la 2e année consécutive, officiellement empêché de se dérouler à cause du Covid. Et pourtant…

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Dans le quotidien de notre monde matérialiste, l'esprit aspire à la magie, qui peut surgir à l'œil qui l'accueille. Nous avons exploré 9 figures qui couturent ainsi les mondes matériel et immatériel.

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LA VI(LL)E D'APRÈS
2020-2021

La pandémie de Covid-19 représente un phénomène sensible à toutes les échelles, et préfigurateur d'autres chocs à venir. Quel sont ses impacts sur nos usages de l'espace ? Et quelles nouvelles possibilités pouvons-nous développer ? Par le récit audiovisuel, nous les avons explorées.

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MATÉRIALITÉS
2019-2020

En observant la matérialité du tissu urbain et celle du film-pellicule, nous portons un intérêt particulier au processus de formation d’images habitées. 

Deux types d’images sont produites à partir du film-objet : des images du réel captées sur la pellicule et des images propres à la pellicule qui prendront naissance par un travail direct sur le ruban-film.

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RELIGION CORPS CITÉ
2018-2019
14 films de 10 min

Les trois thèmes corps-cité-religion ont été déclinés, ensemble ou séparément, tout au long du processus. 

Quels mouvements et énergies animent le corps dans la cité contemporaine ? Y a-t-il des gestes, des traces de religiosité qui surgissent dans l’usage quotidien de la ville ?

TRYPTIQUE
2015-2018

Observant la ville de Bruxelles de manière progressive, l’option a travaillé sur un triptyque thématique sur trois ans pour questionner des notions de microarchitecture urbaine et les mettre en interconnexion : les interstices/intervalles, les traces et les limites de la ville. 

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LIMITES
2017-2018
11 courts métrages 10’

Dans la ville, les limites matérielles se confrontent avec des limites immatérielles pour dessiner des lignes fragiles et fluctuantes qui constituent et découpent le corps de la ville. 

Bruxelles reflète l’image d’une ville multiple et vivante, dont les nombreuses frontières qui la morcellent et la définissent se déplacent et se re-dessinent continuellement.

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TRACES
2016-2017
10 courts métrages 8’

La trace est un indice qui ouvre des failles dans le visible pour passer au-delà du décor ; elle laisse entrevoir et questionne la fine frontière entre réalité et fiction. La recherche des traces dans la ville est le mobile d’action et d’investigation urbaine, dès lors, la trace devient intrigue.Toute réalité appelle une forme de fiction qui associe à cette réalité un monde imaginaire, individuel ou collectif. 

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INTERSTICES/
INTERVALLES
2015-2016
9 courts-métrages de 10’

Des écarts spatio-temporels constituent la ville tout autant que sa masse construite. Ces minces porosités de la ville coexistent avec des réalités multiples et complexes au sein de la ville globale, lissée, universelle. 
Ces unités spatiotemporelles ont des caractéristiques spécifiques, uniques, inédites auxquelles l’accès n’est ni direct, ni immédiat.

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LE MUR ET
L'ENGAGEMENT
2013-2014
5 courts métrages de 5' + publication Mur/Mur

Le mur est un élément solide pour l’homme qui construit, une notion pragmatique d’usage quotidien. L’engagement est un élément moteur de l’homme social dans son rapport à soi, à l’autre et au monde. Ensemble, les deux thèmes tentent de rendre visible le territoire non-visible du processus créatif, par-delà de l’œuvre et des actes concrètes posés dans le réel 

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LE QUOTIDIEN
2012-2013
6 courts métrages de 2'

Questionnement de l’espace du quotidien en mettant en scène différentes manières de le raconter. 

Six récits différents d’un même espace, les réalisateurs étant en réalité les utilisateurs quotidiens de l’espace filmé. Entre fiction et réalité, le quotidien se réinvente infiniment.

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